Au Québec, un comparateur de prêt présente des offres de banques, caisses et prêteurs spécialisés et les affiche dans un format normalisé pour permettre une comparaison “à périmètre constant”; les meilleurs outils calculent et montrent le taux annuel (APR/« taux de crédit ») tel qu’exigé par la réglementation, la mensualité estimée, le montant total dû et les frais (dossier, assurances facultatives, etc.).
Au Québec, le comparateur de prêt s’aligne sur les exigences d’information de la Loi sur la protection du consommateur (LPC) du Québec et des règles fédérales de divulgation du coût d’emprunt, afin que les coûts et conditions soient clairs avant toute demande formelle.
Au Québec, côté fonctionnement, le parcours type d'un comparateur de prêts commence par un questionnaire (montant, durée, usage, situation financière). Le comparateur exécute alors une pré-qualification (idéalement via vérification « soft », sans effet sur la cote) et présente les offres triables par coût total, mensualité, rapidité de décaissement ou probabilité d’acceptation.
Au Québec, le cadre juridique influence directement l’affichage des comparateurs, car au Canada, le taux d’intérêt criminel a été abaissé à 35 % (taux effectif annuel), et un plafond national s’applique aussi au coût des prêts sur salaire (14 $ par 100 $ empruntés, dans les provinces dotées d’un régime approuvé).